Jae •• The World's Upside Down. uc.

« And suddendly, the world failed ;
She was, standing alone in the room,
closed eyes and red lips. »

Je suis parfait/e et alors ? ■ ■

Nom :

Prénom(s) :

Surnom(s) :

Date de naissance:

Lieu de naissance:

Occupation :

Groupe :

Ne le dis à personne ■ ■

votre caractère

8 de vos particularités

Parce que je le vaux bien ■ ■

J – « Un Martini, s’il vous plait. »

Le barman écarquilla ses gros yeux verts et plongea son regard dans le mien, comme si je venais de lui demander quelque chose extraordinaire. Il m’irritait déjà à un point inimaginable – comme si son horrible tête de crapeau aux yeux globuleux n’était pas assez agaçante comme ça. Il finit par réaliser qu’il fallait qu’il me serve, sans doute, et se détacha de mo visage pour aller préparer son fichu cocktail. Il le déposa un instant plus tard devant moi, repoussant de ses doigts sales le billet que je venais de poser devant lui.

B – « Avec les compliments du Monsieur qui est assis là-bas. »

Evidemment. Je rangeai soigneusement le billet dans mon sac, avisant un grand type brun, aux cheveux en bataille, vêtu d’un costume. Il devait avoir le double de mon âge, mais n’en était pas moins séduisant. C’était incroyable qu’on ne puisse même plus payer son martini toute seule – mais peu importe. J’avais très envie de voir ce à quoi cet homme était prêt pour m’avoir. Je remis mes cheveux en place d’un geste d’épaule, et m’extirpai de mon siège. J’étais habillée d’une robe très courte, noire et bustier, dont le haut terne était réhaussé par la couleur de mes cheveux. Actuellement blonds, il me donnait cet air enfantin qu’on les femmes mûres qui ne vieillissent pas. Je pouvais me payer le luxe d’avoir n’importe lequel de ces hommes ce soir, j’en étais certaine. Mais le vieux séduisant avait retenu mon intention. C’était terriblement désuet que d’offrir un verre à une fille inconnue – mais grand bien lui fasse ; ce soir, sa vieille technique de drague allait payer. M’approchant de ma démarche féline, j’arrivai jusqu’à son siège, me hissant de nouveau sur le fauteuil libre à côté de lui. Il sourit légèrement, mais ne dit pas un mot. Exaspérée, je piaffai légèrement, plissant les lèvres.

J’hochai doucement la tête, lui faisant comprendre que je n’entretiendrai pas la conversation – il sembla réceptif au message.

Je sirotai tranquillement mon martini – ce qui lui arracha visiblement un rire contrit.

On veut juste s'amuser ■ ■

chanson préféré

l'idole de votre personnage

sa pire honte

sa plus grande fierté

la personne qui l'aime le plus au monde

celle qui déteste le plus

la ville qu'il préfère

le pays où il aimerait vivre

son rève le plus fou